Mon devoir m’ordonnait d’etouffer votre sentiment dans l’?uf, mais mon c?ur…
Mon c?ur ne disait rien : il hurlait comme 1 loup a Notre lune. Aucune raison au monde n’aurait pu le detourner de ma belle etrangere.
Pourtant, en embrassant la carriere de garde du temple, j’avais embrasse la dignite qui allait avec. On ne nous demandait pas d’observer le celibat, mais la majorite des gardes n’etaient pas maries. Nous devions preserver une concentration et une moment pour servir le temple. Nos epouses, si epouse il y avait, devaient se plier a notre mode de vie et a nos obligations.
J’me demandai si une femme tel cette dernii?re accepterait une telle existence. J’en doutais… mais j’avais besoin d’essayer. Se doutait-elle de quelque chose ? Elle me regarda venir d’un drole d’air ce jour-la. Il sembla meme qu’elle rougissait. Elle m’ecouta calmement lui faire l’aveu de mon amour. J’eus l’impression qu’elle prenait une eternite pour me satisfaire.
En fera, elle ne parla nullement. Elle s’approcha de moi et m’embrassa avec une passion qui me laissa pantois. Mes sentiments etaient donc partages ? Je refermai faire mes bras sur elle, amoureux et possessif. Je vecus des plus belles heures ma life. .. Sitot mon service fini, je volais vers cette dernii?re. Tout mon moment libre lui appartenait.
Je commencais aussi a faire des projets d’avenir pour nous 2, sans trop oser lui en parler. J’avais interroge les rares gardes maries qui m’avaient explique que le temple offrait des appartements aux couples et aux familles, De sorte i faciliter la ti?che des gens qui y travaillaient. (more…)